Vie de pirate

Démarré par Gabriel10, 25 Octobre 2009 à 16:23

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Bonjour tout le monde, coment allez-vous? Aujourd'hui je veux tenter un aute style soi de petites anecdotes. Ce texte sera donc articulé sous la forme de petites histoires naratées par un personnage actif que j'ai crée de toute pièce pour la nécessité de l'histoire soit Samuel, le grand frère de Tetra.

Cette histoire se passera donc dans le monde de Wind Waker en prélude, présent et futur à l'histoire en passant de plus par le plus récent Phantom Hourglass, évidement Link intéragiera avec ce personnage crée de tout pièce ainsi que les autres personnages de l'histoire.

Articulée autour de moments quelqu'onques tout de même reliées par un temps similaire soi le pasé, le présent et le futur...bonne lecture! ^_^

Je tien à préciser que mes autre histoires ne sont pas arrêter mais je voulais me défouler avec une histoire plus humoristique que profonde comme Le Premier Héros que je répète n'ai pas abandonné. :ninja:



On m'appela dans la cave du bateau, Gonzo avait l'air noir, du moins plus que d'habitude. Je descendis les escaliers où on me mena, on m'y accueillais tristement. Ma petite sœur était partit sur l'île au grand moulin avec les plus jeunes membres de notre équipage et ___________. En arrivant devant la chambre où ma mère était couché, en mauvais état, flétrie je compris alors pourquoi ce voyage improvisé. Je clignais des yeux pour m'habituer à la lumière de la cale bordée de lanternes qui ne prodiguait qu'une faible lueur dans cet atmosphère plutôt glauque, mais bon, dans une vie aussi remplie de rebondissements qui a besoin d'un éclairage vif et non tamisé.

J'entrais dans la pièce voyant ma mère qui me souriait, nostalgique en me faisant signe de la rejoindre de sa main squelettique et blanchâtre, déjà à mi chemin avec la mort.

-Samuel, viens me voir mon bébé s'il-te-plaît.

Je m'avançais et me mettait à genou sur le côté du lit, la regardant dans la prunelle des yeux.

-Tu as tant grandi Samuel, je suis fier de toi, tu es devenu un homme, s'il-te-plaît, je ne récupèrerai pas de ce mal, il est trop grand, il m'envahit.

-Y a-t'il quelque chose que peux faire maman.

-« Cough » « Cough », occupe toi de ta petite sœur, elle n'a que six ans, c'est une grande responsabilité, mais je te le demande.

***

Je regardais en riant ma sœurette à la barre du bateau, elle ne se débrouillait pas trop mal si on mettait à part le fait qu'elle avait failli échouer notre colossale maison sur trois îles différentes. Elle trouvait ça bien drôle debout sur un petit banc et ne rejoignant le volant qu'avec le bout de ses doigts. Son sourire, il me semblait le voir moins souvent, alors je profitais de ce qui se présentait. Je pris le maillet de la main de Gonzo et commençait à battre la mesure, faisant s'esclaffer ma sœur et le reste de l'équipage, elle donnait déjà des ordres à tout le monde...je sentais bien qu'elle allait bien se placer dans le groupe, je fermés les yeux et sentit le vent caressant mon visage, chance pensai-je. 

***

Elle nous en fait toute une frailleur hier la sœurette, en effet nous étions prient dans une tempête déchaîné et nous avons dû prendre des mesures d'urgences. Envoyant les petits à l'intérieur du bateau, je me retrouvai seul sur le pont du bateau, la pluie ruissellent sur mon front mouillé d'eau de colère, de peur et d'amertume. Cette tempête était pourtant comme tant d'autre mais me voilà tout de même apeuré devant la force des éléments, étais-je devenu un frère poule, la survie de ma sœur pourtant assuré je l'imaginais tout de même mourir sous les eaux sans pitié ce matin pourtant si calmes et sereines. En me retournant je cru apercevoir une silhouette se profilant sur le nid de corbeau du bateau, je fus surpris car celle si semblait trop petite pour être l'un de mes hommes, maintenant deux, ces silhouettes semblaient courir et crier à tue tête. Mais bien l'avez -vous déjà deviné, c'était la petite Tétra et son compagnon de coup foireux Nico. Je pris une grande inspiration et me préparai à monter à toute vitesse ce pic si loin et pourtant si proche qui se profilait immense et menaçant devant ma peur et mon vertige.



C'est une bonne idée de donner un poin de vue sur la vie de Tetra et de l'equipage du bateau .
Au niveau du récit c'est pas mal ,  il y a encore quelques fautes mais a part sa ca va . ^_^

Je trouve cette Ficts assez bien.
Continue comme ça.

Comme toujours Gabriel tu sait rédiger des fic digne de ce nom.

Continue comme ça  :super:

Comme vous avez pu remarquer il y a quelques passages vides __________________ comme ceci, c'est que à part Tetra, Gonzo et Nico je ne connais pas le nom des pirates de Wind Waker.

Aide appréciée. :)



Citation de: angenoir37 le 25 Octobre 2009 à 18:23
Comme toujours Gabriel tu sait rédiger des fic digne de ce nom.

Continue comme ça  :super:
Je ne peux rien faire d'autre que de plussoyer !

15 Mars 2010 à 02:55 #6 Dernière édition: 15 Mars 2010 à 03:00 par Gabriel10
Tien ,le petit éclair vert passait encore, encore et toujours. D'un côté à l'autre de la câle qui semblait être devenue la salle de jeu du petit Nico. Le métier rentrait, lentement mais il semblait plus confiant. Balançant d'une corde à l'autre, sautant de plateforme en plateforme, il avait l'air d'un petit flibustier pour sûr. Oh, et un autre saut et...ploc. ça ça allait laisser une marque, rectification, ça allait laisser une grosse marque. Soeurette m'avait bien parlé de ce premier défi stupide qu'il avait réussi haut la main. Mais là, Nic' avait mit le paquet pour empêcher son nouveau rival de le surpasser à nouveau et de lui procurer de nouveau une autre humiliation.

Le spectacle devenait lâssant, et après tout, Tetra devait bien être à ma recherche.

***

-Était-ce vraiment nécessaire Tetra, vraiment, l'attacher sur une chaise comme un saucisson, c'est pas un peu excessif?

-Oh t'es lâssant Samuel, il criait trop et tu sais coment les capitaines aiment pas se faire crier dessus.

-Je rectifie soeurette, capitaine par intérim.

Comme pour assurer ma place, je lui pris le front et lui donna une petite tapoche. La moue qu'elle me fit n'avait pas de prix et je ne pu m'empêcher de pouffer de rire. Peut-être fut la soudaine déflagration ou bien la fatigue mais le marchand de bombe tressaillit et se remit à crier.

-Oh je l'avais oublié celui-là.

M'approchant de lui, je pu lui arracher le bandeau qu'on lui avait fait avaler par la force. Aussitôt un langage coloré emergea comme une rivière tumultueuse de la bouche du petit homme. Déjà je comprenais la réaction de ma soeur et ne pu m'empêcher de répéter son geste.

-Désolé gars, mais il y a des enfants ici et je ne veux qu'on leur inculque un tel langage.

-Quel enfants Samuel dit Tetra offensée.

-Qui tu penses petite.

Criant, frustrée, elle fini par me regarder fatiguée par mes allusions. Moi amère, je ne pu que penser qu'elle était bien enfant, ça le troubla. Après tout, combien de filles de son âge commandaient un équipage de pirates, maniait le poignard et avait déjà l'enfance térée dans un tiroir de grenier vérouillé.

-Bon, on y va. Allez Gonzo, prend les caisses, les gars faites de même. Moi j'ai mon propre paquet à prendre.

Soulevant Tetra du sol, la faisant sursauter, il la plaça sur son épaule, geste qu'il avait fait depuis qu,elle n'était qu'une puce.

-Tu deviens lourde un peu tu sais.

-C'est toi qui vieillis grand-frère, et je peux marcher tu sais.

-Oui, je m'en doute, mais moi j'ai besoin d'une excuse pour ne pas transporter ces bombes.

-Balivernes, tu aimes juste m'infantiliser.

-Peut-être.

Silence, la qeustion me pendait aux lèvres et le tout était trop tentant.

-Et le petit elfe vert, tu l'aimes bien hein?

La claque mit fin à la discussion, plutôt physique, elle venait d'irriger un barrage devant ma curiosité.

***

Tout se passait si vite, le vent, la pluie et toujours ces petites ombres appeurées au loin. Je voulais m'en raprocher, si ils devaient s'envoler, je crois bien que je quitterais le sol à mon tour. Elle voulait prouver sa force, c'est pourquoi elle devait être là, pauvre petite. Comme maman. Une déferlente remit les pendules à l'heure et je me dirigeai de ce pas vers l'extrémité du pont.



Citationen effet nous étions prient dans une tempête déchaîné
Oh quelle horreur. ._. ça fait quelques mois mais quand même je préfère te prévenir :
Citationen effet nous étions pris dans une tempête déchaînée
Sinon je crois avoir grillé d'autres fautes d'inatention mais... c'est pas aussi gros xP
Et je peux jouer au nazi de la ponctuation aussi : pourquoi tu mets pas de guillements au début et à la fin des dialogues ?

... bon je sers à rien. Concernant le texte en lui-même, c'est assez drôle une fanfic sous cette forme, enfin pour le peu que je me suis amusée à en regarder ça change, en plus c'est un sujet original. Difficile cependant de s'y retrouver du 1er coup dans les dialogues (enfin le dernier surtout), dans ce cas balance plus de verbes introducteurs et explicite le sujet. Mais je chipote x)

CitationDifficile cependant de s'y retrouver du 1er coup dans les dialogues (enfin le dernier surtout), dans ce cas balance plus de verbes introducteurs et explicite le sujet. Mais je chipote x)

Je garde en tête, merci. :)



Cette fic est un genre de grisant faut croire. Quand le reste bloque, elle débloque, et vice-versa faut croire. Du moins j'espère, j'ai des tounes, une autre fic et une pièce de théâtre à piloter. :ninja:

Allez, on se lance. :mrgreen:




Ciel dégagé, étoiles et lune brillants comme tout autant de mouches à feu, hédoniste et perfectionniste la nuit s'était faite parfaite en faisant même siffler une brise qui venait balayer les remords et les mauvaises pensées. Gonzo dirigeait la barre et nous amenait à bon port mais, comme il était discret, absorbé comme je l'étais par ce magnifique horizon plat j'aurais pu croire que le bateau se dirigeait seul. Peut-être Gonzo appréciait-il aussi de son côté cette magnifique pénombre, ou peut-être était-ce tout simplement qu'il ne parlait que très peu. Je soupirai et chantonna un petit air de ballade que je croyais adéquat, interrompue uniquement plusieurs longues secondes plus tard par des pas sur le pont.

C'était sœurette  ornée de sa couronne de fleurs qui trottait vers l'extrémité du pont. Elle s'arrêta à a peine quelques pas vers ma droite et, sans m'adresser un seul regard, encore moins une seule parole, elle se plaça les bras croisés sur la balustrade et fixa l'horizon. Nous regardions tout deux au loin et pourtant je savais très bien qu'une éternité séparait nos regards. Elle regardait ce qui avait été alors que je regardais le futur, tentant sans succès de trouver son île du regard alors que moi je cherchais un point où il n'y en avait pas. Je me suis retourné.

"Tu gardes toujours cette couronne n'est-ce pas?"

Elle hocha la tête, puis plus rien.

"Tu devrais immerger ces fleurs  au moins...non?"

Enfin elle se retourna, pas trop sûr de ce qu'il devrait de mon sot commentaire. Je me sentis obligé de continuer.

"Laisse tomber, de toute façon on est quasiment à pleine pénombre et je vais bientôt rentrer, je t'aurai préparé un flacon."

Je fixai à nouveau l'horizon, mais je crois que le cœur n'y était plus.

"Tu t'ennuis de cette île n'est-ce pas...de tes amis itou?"

Cette fois, il n'y eut ni hochement ni paroles échangées en silence. Muette, elle est restée sur place. J'ai préféré rentrer.

***

De la voir ainsi jouer parmi ceux de son âge me fit douter. Loin des canons et des épées, de la fourberie et de la piraterie, elle devenait une petite fille comme les autres. Bah, peut-être un peu plus forte, taillée par les éléments, mais sinon l'illusion était telle que j'aurais bien voulu y croire comme les passants. Enfin, au moins pourrait-elle profiter de ces quelques heures le temps de remettre le bateau en état, et les marins aussi d'ailleurs qui devaient siroter une bière fameuse à la taverne du coin. Les rejoindre semblait un plan tout aussi fameux et, alors que je tournais la tête pour m'assurer que la petite était à porté de vue de Gonzo et que le bougre était alerte au poste, je vis qu'une fillette, à peine plus âgé que ma sœur, revenait la voir avec une couronne de fleurs en main.

***

Le bar était bien rempli mais un banc restait libre face au comptoir. Le barman astiquait ses vers de façon méticuleuse, en parfaite communion avec la verrerie, tant et tellement qu'il fallu que je répète plusieurs fois la commande : un verre de bonne broue. Enfin la boisson glissa de mon côté et je le saisi d'une poigne ferme. J'étais connu en ces lieux, on savait comment j'aimais ma consommation : généreuse et en silence. Deux gars sont assis à une table tout près. L'un fait signe à l'autre et je crois comprendre qu'ils parlent de moi. Je regarde tout ça du coin de l'œil et, me disant que ce n'est rien, retourne à ma bière. On me prend l'épaule et je me redresse.

« La mioche là-bas avec la couronne, t'as connaît? »

Je me retourne et je tombe face à face avec le profil type de la face à claque. L'haleine déplaisante, le sourire en coin et le mépris dans les yeux, tout ça m'amène à vouloir me séparer au plus vite de ce gêneur.

« Oui, c'est ma sœur, pourquoi? »

Son sourire se retrousse encore plus (moi qui aurait cru ça impossible) alors que son compagnon s'approche les bras croisés.

« Tu vois, on n'aime pas trop les pirates par ici, pareil pour leurs famille. La fille qui joue avec ta sœur, c'est ma fillette, et je n'apprécie pas trop qu'elle traîne avec de la mauvaise graine. »

Moi poing se serre.

« Tu sais qui je suis? »


« Non, mais je sais que t'es mort si t'as pas quitté l'île au plus sacrant. »

Un silence de mort tombe sur le bar. Le barman n'astique plus ses verres par réflexe, mais plutôt sous le poids du stress. Mon regard est figé, plongé dans celui-ci du malabar.

« Et emmène dont ta batarde de sœur avec toi. »

Je le quitte des yeux, croisant ceux du barman. Il me prit du regard de partir poliment, sans rien dire. Je souris. Je me lève et les deux bougres rient allègrement, se moquant et me traitant de femmelette. L'un d'eux pousse un commentaire à l'endroit du second, il ne m'échappe pas.

« En espérant que cette salope à en devenir aura pas contaminé ma fille. »

Je souris à nouveau, mais mon sourire est crispé. Je continue à m'éloigner, jusqu'à-ce que je tombe face à une bouteille vide. Je ferme les yeux, ma main saisi la bouteille. Quelques secondes plus tard ma bouteille vient se fracasser sur la tête de la grande gueule. Le deuxième, surpris, se lève pour m'empoigner mes je stoppe son geste en dégageant un  canon-à-main de mon manteau. Le barman est figé, plusieurs clients ont la tête sur le comptoir, d'autre ne savent pas trop comment réagir. Je ne baisse mon arme qu'une fois la porte franchis, ensuite, je cours.

***

« Comment ça on ne peut plus revenir! »

La sœurette laisse tomber toute sa colère sur moi, comme une pluie de grêlons intraitables. Il m'a fallu une poignée de minutes à peine pour l'arracher à ses jeux d'enfant et mettre les voiles. Surprise d'abord, enragée ensuite, elle n'avait pas voulu quitter l'île, trop heureuse de pouvoir jouer avec des enfants de son âge, chose qu'elle ne faisait que très rarement. Elle avait fait une scène, criant et protestant quand je l'avais pris sur mon épaule, la couronne de fleurs encore sur la tête, ne lui laissant aucune chance. Je ne pensais qu'à la mettre en sécurité des conséquences d'actions que j'avais moi-même entreprise sans trop penser. Tout était ma faute et elle ne cessait de me rappeler.

« Pourquoi t'as fait ça, pourquoi faut partir? Pourquoi! »

Je tente de résonner avec elle mais je ne fais qu'empirer la situation. Je m'approche pour l'enlacer, la prendre mes bras, mais elle me repousse violement, du moins aussi violement qu'elle le peut du haut de ses huit ans. Elle me pousse à nouveau, à moitié en pleurs, en moitié enragée. Elle cri en ma direction alors que je m'éloigne démolit :

« Je te hais! »

Je suis déjà loin, mais ces paroles résonnent si fort en moi que pour la première depuis longtemps, je doute.  [/i]




Je viens de lire ce que tu avais posté.
Mis à part le dernier chapitre que tu as posté, le reste du texte est désagréable à lire car bourré de fautes et de problèmes de conjugaison :/
De plus, comme beaucoup, tu ne t'attardes pas assez (à mon goût) aux descriptions, les dialogues s'enchaînent, ce qui rend l'action très rapide.

Avec le dernier chapitre (enfin je ne sais pas si tu appelles ça chapitres ou pas ), tu te rattrapes :P
C'est beaucoup mieux, plus de descriptions, une action moins rapide, plus posée, moins de fautes :)