Réussite scolaire et sociale

Démarré par Zaki, 13 Décembre 2009 à 17:35

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Bon, ça va paraître un peu bête, mais j'aimerai avoir votre avis sur la question suivante :
Pensez-vous que la réussie scolaire conditionne la réussite sociale ?

C'est court, on dirait du flood, mais toute réponse m'intéresse.
Merci d'avance. ^^

Je dirais que ca dépend tout simplement du domaine et de ce que tu veux faire de ta vie. C'est trop compliqué pour généraliser. :)

Je peux te faire un pavé sur mon rapport vie social/scolaire assez complexe mais est-ce qu'un lycéen de 14 ans est le meilleur des exemples ?  ^_^

Binbin : Merci, je prends note. :)

Ka-Smeen : Ça m'intéresserait pas mal je dois dire, par MP si c'est trop grand, mais sur le topic ça serait mieux pour que tout le monde y ait accès. ^_^

Je l'écris et te l'envoi par MP et si tu le trouves digne d'être afficher, il en sera ainsi.  :mrgreen:

Tu entends quoi par "réussite sociale" ?

    







Salaire, statut social, qualité de vie, etc ...

Bah là je rejoins un peu l'avis de Binbin ça dépend, j'ai envie de dire que tout arrive donc c'est pas impossible de réussir sa vie "sociale" même si la vie scolaire était assez raté, maintenant ça accroit tes chances d'avoir un bon parcours, aussi bien pour les études supérieurs que pour trouver du bon taff :).

    







Pour répondre à ta question, oui, ça la conditionne.
Mais quelqu'un de motivé et travailleur arrivera toujours mieux dans la vie que quelqu'un qui a des facilités mais qui ne fait rien ;)

Après, pour moi, la réussite sociale, c'est avant tout faire quelque chose qui nous plait, où on est heureux. Après, le salaire, etc. ça passe bien après.

Mais de toute façon, oui, ça la conditionne obligatoirement, même ne serait-ce qu'un tout petit peu, c'est la société qui l'a voulu ainsi. Car elle catalogue les gens très tôt, dès la fin de la 3ème. (BEP, CAP, bac technique, etc. qui aboutissent tous à des postes moins élevés que S)
L'avenir n'a qu'un seul paramètre : la volonté.

Pas d'accord. J'ai rien fichu de mon lycée, j'ai redoublé ma 2de, on m'avait prédit que je n'aurai pas mon BAC en une fois. Et pourtant dans 2 ans je passe l'internat de docteur en Pharmacie. Pas si dégueu comme situation.


Ca dépend de ce que tu entends par "réussite scolaire", je dirais. Durant toute ma scolarité j'ai côtoyé des personnes qui ne foutaient rien (totalement coupées de la réalité, le genre à sécher pour jouer aux mmo), d'autres qui travaillaient comme des bêtes (le maximum à chaque interro, mais aucune vie sociale, c'est déjà un peu mieux que ceux que j'ai cités avant, qui ne réussissent pas et n'ont pas de vie sociale, mais ce n'est pas le top non plus.) et enfin quelques-uns qui oscillent entre les deux, qui travaillent pas trop et qui ont une vie sociale, qui réussissent quoi.

Pour répondre de manière directe, je crois que non, la réussite scolaire ne conditionne pas la réussite sociale. Ca dépend du contexte, des gens... Certains sont tellement emmurés dans leur scolarité qu'ils déchantent à l'approche du monde réel, mais il y en a aussi qui quittent jamais l'école à force de redoubler par manque de travail. Il faut un juste milieu. Mais j'en connais qui réussissent très bien, par exemple je connais quelqu'un qui jouait 24h/24 à Dofus, et il a doublé deux fois, mais maintenant il bosse et il s'en sort sans difficultés.

J'ai déjà eu d'excellents profs aussi qui m'ont avoué avoir doublé plusieurs fois, et qui ont quand même terminé leurs études supérieures par après...

Voilà quoi^^ Pour mon expérience personnelle, j'ai jamais bossé, je vise la moitié depuis toujours ('fin bon, en primaire, j'avais 90%^^mais c'est surtout parce que c'était facile), et je fais ma dernière anné de secondaire, je crois que je me débrouille plutôt bien, et j'ai plein de projets d'avenir :)

Voilà voilà... Enfin, ce n'est que mon avis perso...


Citation de: Couet le 13 Décembre 2009 à 18:21
Pas d'accord. J'ai rien fichu de mon lycée, j'ai redoublé ma 2de, on m'avait prédit que je n'aurai pas mon BAC en une fois. Et pourtant dans 2 ans je passe l'internat de docteur en Pharmacie. Pas si dégueu comme situation.

'fin va faire pharma après un bep électrotechnique :°
Mais j'ai l'impression de pas voir la question de Zaki de la même façon que vous : pour moi, redoubler, ça change strictement rien dans la réussite. Pour moi, la question de Zaki visait plutôt l'après bac pour ceux qui n'ont que le bac ou un bac +2 et ceux qui ont bac+5 à +8.
L'avenir n'a qu'un seul paramètre : la volonté.

Ah ben c'est sûr qu'après pour moi avoir été en S était une voie normale.
D'un autre côté les plombiers ont une grosse réussite sociale et n'ont pas de bac +12. :)


J'crois que en fait, ça dépend ce que tu appelles par "Réussite sociale"... Parce que tout le monde vise pas forcément la vie plan plan installée avec une nana (chiante) et de gamins et un salaire de 5000€ à la fin du mois...  :rolleyes:

Citation de: Sam101 le 13 Décembre 2009 à 18:41
J'crois que en fait, ça dépend ce que tu appelles par "Réussite sociale"... Parce que tout le monde vise pas forcément la vie plan plan installée avec une nana (chiante) et de gamins et un salaire de 5000€ à la fin du mois...  :rolleyes:

mais sam il exsiste plus pire que une nana chiente:cetais

ok c'était hors suject mais il fallait que je le dise.

J'entends par réussite sociale avoir réussi aux yeux des autres (et même selon nous même je pense).
Par exemple, je suis originaire d'une famille modeste, réussir pour moi, ça serait garder, si ce n'est améliorer, pour moi ou mes enfants ce statut. Si je réussis à faire ça, je pourrai dire que j'ai réussi.

Personnellement, je n'ai pas le bac, j'ai rien foutu de mes années au lycée, j'étais plus que démotivée, et pourtant, voilà que je suis lancée dans une branche qui me va bien pour l'instant :) Je me sens bien, j'ai pris confiance en moi, je ne gagne pas plus que le smic mais je préfère ça à vivre pour le boulot qui nous épuise et dans lequel on est pas bien... Bref, ces temps-ci, je me sens épanouie autant dans ma vie sociale que professionnelle :)
Après, je ne sais pas forcément ce qu'est de vivre dans une famille modeste... Ni riche non plus d'ailleurs. Je pense que pour la première famille, c'est sûr que l'enfant aura une pression de devoir faire "mieux" et sera influencé par ses parents, mais l'essentiel est quand même de faire ce qu'on aime. Car ça ne sert à rien de gagner pleins de sous si c'est pour ne pas être entouré des personnes qu'on aime ^_^

Merci de ta réponse Mymy.
Bon, j'ai d'autres questions en tête, et j'aimerais bien les poser, mais j'hésite entre récréer un autre topic ou profiter juste de celui-ci.

Hésite pas à poser tes autres questions dans d'autres topics, Zaki ;)
Par contre vérifie qu'un topic sur la question existe pas déjà, on fait tellement de débats sur ZS :mrgreen:
L'avenir n'a qu'un seul paramètre : la volonté.

[logged]Le sujet me plait bien :)

Mon père à un CAP carrosserie, à quitté l'Espagne à 9 ans pour venir en France fuir la dictature, ne parlant pas un mot de Français. (Identité Nationale, je tiens à te préciser que mon paternel est bien plus intégré que le voisin qui marche baguette au bras et béret au vent depuis 6 générations...) Il dirige à présent la région PACA du groupe Top Annonce, connais des centaines de personnalités, du sportif à l'acteur ... (Surtout les sportifs x) ) et parle français sans accents même si parfois il à des défauts de langues (Le vent en Poulpes ...)
Ensuite ce n'est pas l'exemple unique dans ma famille et mon entourage. Seulement aujourd'hui par rapport à hier, on privilégie le diplôme et donc ces carrières d'autodidactes se feront de plus en plus rares. Dommage :(.[/logged]


http://my.zikinf.com/kommeno  Pour écouter mon nouvel album :)

Okay, merci pour ton intervention. ^^

Après ces quelques réponses et précisions, si pour toi réussite sociale est synonyme de bonheur, je ne vois pas pourquoi tu fais le lien entre la réussite scolaire et la vie sociale.
C'est bien connu : l'argent ne fait pas le bonheur, et c'est bien vrai.


Citation de: Couet le 17 Décembre 2009 à 17:56
C'est bien connu : l'argent ne fait pas le bonheur, et c'est bien vrai.
Ce proverbe est bien gentil, mais il ne faut pas non plus oublier que l'absence d'argent (dans le sens d'une situation vraiment galère), elle, fait le malheur. D'accord, mon propos n'apporte rien de plus sur le sujet, mais je voulais tout de même commenter cet adage dont on oublie un peu trop souvent l'inverse.
Suivez mon défi fou : finir de nouveau chaque Zelda, à 100%, dans leur ordre chronologique afin de permettre une réécriture au fur et à mesure de la légende.

Le bonheur matériel peut combler le bonheur social mais ça reste factice.


Oui, mais moi je parle de l'inverse. J'avoue ne pas avoir lu tout le topic, et prendre le train un peu en marche. Je suis d'accord pour dire qu'il n'est pas nécessaire d'avoir une situation offrant un gros salaire pour accéder au bonheur. Puisque la réussite sociale (dans le sens "vie sociale") peut très bien réussir à satisfaire.
Mais à l'inverse, je ne pense pas que l'on puisse dire qu'une totale absence matérielle puisse être comblée par autre chose. Si la vie est vécue au jour le jour, dans une situation misérable, tous les autres problèmes (qu'il s'agisse de satisfactions ou non) seront occultées. C'est pourquoi ce proverbe me gène un peu, il a tendance à laisser penser qu'il serait presque tout à fait possible de "refuser l'argent" (dis donc ça me change pas du programme de français de cette année tout ça...).
En ce sens, l'argent fait en effet le bonheur, car il permet de vivre "à la hauteur de ses moyens", ou autrement dit de pouvoir mener une vie décente (même en imaginant que l'on n'ait pas besoin de grand chose), afin de pouvoir se consacrer aux domaines qui peuvent, eux, directement mener au bonheur.
Suivez mon défi fou : finir de nouveau chaque Zelda, à 100%, dans leur ordre chronologique afin de permettre une réécriture au fur et à mesure de la légende.

J'avais bien compris :)
Et je ne suis pas d'accord. C'est un bonheur temporaire.


CitationEn ce sens, l'argent fait en effet le bonheur, car il permet de vivre "à la hauteur de ses moyens", ou autrement dit de pouvoir mener une vie décente (même en imaginant que l'on n'ait pas besoin de grand chose), afin de pouvoir se consacrer aux domaines qui peuvent, eux, directement mener au bonheur.

J'ai un ami qui était commercial dans une grosse boite, très très bien payé (du style des commissions de 15-20k euros plusieurs fois par an). Du jour au lendemain, il a quitté son taf, et est parti pour l'australie. A la base c'était pour 3 mois, il y'est maintenant depuis Août 2008. Il vit au jour le jour, se fait héberger par des gens divers, des auberges de jeunesse, baroude un peu partout, aide à la plonge quand il a besoin de sous, etc. C'est fréquent qu'il se retrouve un jour avec 20$ en poche, sans plus, et sans savoir ce qui vient le lendemain.

Et pourtant, il n'a jamais été aussi heureux (depuis il a fait la nouvelle zélande, la thaïlande et quelques autres et là il est au vietnam)

17 Décembre 2009 à 18:50 #28 Dernière édition: 17 Décembre 2009 à 18:52 par Valoo0278
Bon bah au final la crise ce n'est pas si grave alors. Donnons-nous tous la main, et dansons dans les rues.

Plus sérieusement, au final on peut aussi mettre tout le monde d'accord, et que l'argent fait le bonheur ou non suivant les personnes. Cela suffira à certains, et d'autres, comme dans l'exemple de Noxneo, arrivent tout à fait à s'en détacher. Dans ce cas, ne disons pas "L'argent ne fait pas le bonheur", mais "L'argent ne fait pas mon bonheur".

edit : Une question pour Noxneo. Ton ami, où est passée sa fortune ? A-t-il tout dépensé, ou bien dispose-t-il tout de même d'un matelas de sécurité ?
Suivez mon défi fou : finir de nouveau chaque Zelda, à 100%, dans leur ordre chronologique afin de permettre une réécriture au fur et à mesure de la légende.

17 Décembre 2009 à 18:58 #29 Dernière édition: 17 Décembre 2009 à 19:01 par Guillaume-Noxneo
CitationPlus sérieusement, au final on peut aussi mettre tout le monde d'accord, et que l'argent fait le bonheur ou non suivant les personnes. Cela suffira à certains, et d'autres, comme dans l'exemple de Noxneo, arrivent tout à fait à s'en détacher. Dans ce cas, ne disons pas "L'argent ne fait pas le bonheur", mais "L'argent ne fait pas mon bonheur".

Je dirais plutôt que l'argent peut faire le bonheur mais seulement dans le cadre de notre société moderne. Certes ce cadre est accepté par une écrasante majorité de la population, mais ce n'est pas une fatalité et l'on peut s'en détacher (mais il y'a un coût, forcément).

Citationedit : Une question pour Noxneo. Ton ami, où est passée sa fortune ? A-t-il tout dépensé, ou bien dispose-t-il tout de même d'un matelas de sécurité ?
Tu sais, je ne sais pas vraiment :P Il n'avait pas vraiment une fortune à la base, il était bien geek quand il bossait et s'acheter tout le temps des consoles/nouveau gadgets etc. Je sais qu'il en avait mis  de côté pour justement s'acheter des billets d'avion vers la nouvelle zélande etc., mais aujourd'hui je ne sais pas si il a des sous dans un compte en banque français "au cas où" ou pas. Cela a pê le cas au début mais cela ne m'étonnerait pas si ajd il n'a pas de fonds de réserve.

Je ne crois pas que l'adage en question soit mauvais, mais que la manière dont il est compris n'est pas parfaite. L'argent ne fait pas le bonheur. Quelqu'un dans une situation terrible qui touche de l'argent qui lui permet de subsister pourra continuer à vivre, et il ressentira sans doute une grande joie, qui est difficilement comparable au bonheur en lui-même. Peut-on dire que quelqu'un qui se battait pour survivre et qui a désormais tout ce qu'il lui faut est heureux? Pas spécialement. L'argent en lui-même n'est rien, et ce qu'il apporte n'est qu'accessoire dans la quête du bonheur. Faut pas confondre survie et bonheur. Certes, l'argent apporte une composante essentielle au bonheur, celle de vivre, condition sine qua non pour être heureux (sans prendre en compte les diverses croyances de vie après la mort bien entendu), mais nulle part l'argent n'a jamais fait le bonheur. Il y a des gens très pauvres qui sont heureux, ce qui n'enlève rien à la précarité de leur situation. Et des gens très riches sont malheureux... M'enfin, chacun a sa conception du problème, il n'existe pas de vérité absolue sur ce sujet...

Bref, je ne m'étendrai pas sur ce sujet, on peut en dire beaucoup sur le bonheur, mais ce n'est pas le sujet du topic...

La réussite scolaire débouche souvent sur la réussite professionnelle mais ruine presque toujours la sociabilité de la personne.
Et oui, des gens orientés dans une voie vont s'y cantonner et un peu zapper ce qu'il y a autour et tant mieux.
Mais bon il y a pas vraiment de voie express ou régulière prouvant qu'une série de 20/20 à l'école te promet le rêve américain et un poste au sénat.
Il y a tellement de ratés sur Terre qu'il serait même plus constructif de faire un cas par cas pour avoir un début de réponse à ton thème.

Citation de: Couet le 17 Décembre 2009 à 18:16
C'est un bonheur temporaire.

Tu connais des bonheurs qui perdurent à jamais?
Signé : Un mec relou

Non mais il existe des bonheurs ponctuels et d'autres durables.


Si la réussite scolaire a un influence sur le social?
Je dirais que c'est vaste comme sujet puisqu'il y a plusieurs types de gens.
Certains réussisent généralement bien et sont très renfermés tandis que d'autres sont hyper intelligent et très integrés.
Sinon, pour certaines cathégories, je dirait que ceux qui réussisent mieux dans le domaine de la communication, de l'art dramatique et de l'appréciation des enjeux sociaux aiment se faire valoir et émettre leurs opinions.
Tant dis que, ceux qui sont plus mathématique, scientique vont se renfermer sur eux même et être très mental tel les autistiques.. mais bon, ce n'est que mon point de vue ;)

CitationLa réussite scolaire débouche souvent sur la réussite professionnelle mais ruine presque toujours la sociabilité de la personne.
Donc on ne peut pas réussir scolairement et avoir une vie sociale épanouie? Heu...  :lol:


CitationTant dis que, ceux qui sont plus mathématique, scientique vont se renfermer sur eux même et être très mental tel les autistiques.. mais bon, ce n'est que mon point de vue
Ugh...tellement moche comme stéréotype.

Citation de: Guillaume-Noxneo le 25 Décembre 2009 à 01:03
CitationTant dis que, ceux qui sont plus mathématique, scientique vont se renfermer sur eux même et être très mental tel les autistiques.. mais bon, ce n'est que mon point de vue
Ugh...tellement moche comme stéréotype.

Effectivement, maintenant ça dépend de ce qu'on entend par "mathématique, scientique". L'autisme est un cas particulier, et si on constate souvent des facultés incroyables d'ordre intellectuel, l'inverse est loin d'être vrai, et ce n'est sûrement pas l'orientation dans le domaine de l'étude ou de la profession qui va influencer le social. C'est comme ça qu'on finit par classer les gens dans des petites boîtes pour ne plus jamais les en sortir. Je pourrais prendre l'exemple de mon école, où on a été tellement loin que maintenant, aux yeux de beaucoup, 1) les latin-grec sont des paresseux, 2) les sciences fortes des génies (mdr, j'en connais qui trichent depuis la maternelle en sciences fortes^^), 2) et les langue des artistes... Et les autres? Bah des rebuts... L'un de mes meilleurs profs de mathématique déblatérait comme une commère, ce qui n'enlevait rien à sa compétence...

CitationL'autisme est un cas particulier, et si on constate souvent des facultés incroyables d'ordre intellectuel, l'inverse est loin d'être vrai,

Faux, les autistes dit de "haut niveau", avec des compétences intellectuelles hors norme dans un domaine, ne sont qu'une minorité dans le spectre des formes d'autisme existantes. Il ne faut pas confondre autisme et syndrome d'asperger.


Oui voilà, c'est comme confondre Nutella et pâte à tartiner au chocolat et à la noisette.

Quand je dis "souvent", je parle pas forcément d'une grande part de la population autiste, mais surtout dans la manière dont est vue l'autisme, grâce à quelques films (je pense à un en particulier mais j'ai oublié le nom, tant pis), on associe souvent l'autisme à de hautes facultés, désolé de m'être exprimé un peu maladroitement. Le but de ma remarque était surtout de dire que les gens à fort potentiel intellectuel ne sont pas forcément autistes, ni de manière générale renfermés...

Bah c'est surtout que les personnes à haut potentiel intellectuel ont des centres d'intérêt différents des autres. (Je dis pas qu'ils n'ont pas ceux des autres), mais en général, quelqu'un qui n'a pas un fort potentiel ne va pas aller s'intéresser à la physique quantique par exemple :P
Donc on se dit "ah, elles sont renfermées", bah pas forcément, c'est juste que vous n'irez pas parler des mêmes choses avec.
L'avenir n'a qu'un seul paramètre : la volonté.

Citation de: Eidarloy le 25 Décembre 2009 à 23:41
Donc on se dit "ah, elles sont renfermées", bah pas forcément, c'est juste que vous n'irez pas parler des mêmes choses avec.

J'approuve ton point de vue Eidarloy.
Mais quand je dit renfermée, je ne portais aucun jugement, aucune offence Nox.