Recueil des (petits) Textes de Cetais (et liens vers les gros)

Démarré par Cetais, 01 Avril 2012 à 10:32

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01 Avril 2012 à 10:32 Dernière édition: 24 Février 2014 à 23:33 par Cetais
Ici, je compte poster tout types d'écrits qui me sont chers. Fictions, conneries, pensées, pièce de théâtre, lettre de mariage...

[spoiler=La fabuleuse histoire d'amour de Paul Robert][size=9]Écrite le dimanche 28 août 2011
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Par un doux jour d'automne commençait la nouvelle vie scolaire de Paul Robert, un jeune étudiant avec ses cheveux brun court, et des yeux vert pétillant. Il mesurait environ un mètre soixante, ce qui n'est pas si mal. Il se nommait Paul Robert. C'était sa première journée dans sa nouvelle école, il ne connaissait personne, car il a changé d'école et de maison, à cause du boulot de son père. Pendant sa marche quotidienne pour se rendre à son école, il vu un roux de son âge, avec de longs cheveux, et mesurant environ un mètre quatre-vingt, à côté d'une jolie fille, avec de longs cheveux turquoises touchant presque le sol. Elle était en train de bouffer un poireau. Le groupe d'inconnu marchait dans la direction opposée de Paul Robert. Du coup, il se retourna alors pour apprécier la posture des inconnus, plus précisément du grand roux. Ses yeux se posèrent rapidement sur ses fesses. Ce n'est qu'à ce moment que l'inconnu se tourna pour le regarder en flagrant délit. Il commença à rougir lorsque leurs yeux se joignirent, pour ensuite partir en courant. Il était vraiment gêné, ce qu'on pouvait remarquer à cause de ses joues rouges.

Une fois rendu à sa nouvelle école, Paul Robert remarqua qu'il était dans la même classe que les inconnus, se nommant respectivement Jean Jacques Seme ainsi que la fille au poireau, Martine Colletta. Une fois l'heure du diner, Jean-Jacques demanda s'il pouvait manger avec lui. La jeune fille arriva pour l'interrompre, et l'emporter sur le toit pour manger avec. Ensuite, une scène du genre se reproduisa après l'école, où il lui demanda de marcher avec. Martine Colletta était là, derrière lui, et l'empêchant de parler, puis le traina jusqu'à la sortie. Étonné, Paul Robert demanda aux autres la relation de ces deux nouvelles connaissances. Apparament, ils sont fiancés et la fille au poireau est très jalouse.

Le lendemain, les mêmes scènes se reproduisa, elle était toujours aussi jalouse. Ça continua pendant plusieurs jours, voir des semaines, jusqu'au jour où Paul Robert vu les deux s'embrasser. Une légère colère s'empara de Paul Robert, alors qu'il ignorait la cause. Le lendemain, Martine était absente. Du coup, Jean-Jacques en profita et invita Paul Robert à manger avec lui. Arrivée sur le toit, il y avait Martine Colletta. Elle s'assit avec les deux garçons et ouvrit sa boite contenant son repas: Soupe aux poireaux, salade de poireaux, quiches aux poireaux, et gâteau aux poireaux, accompagné de biscuits aux poireaux. Bref, elle était un poireau-maniaque. Pendant tout le midi, la jeune fiancée regarda Paul Robert d'un air très suspicieux, comme s'il avait fait quelque chose qu'il ne devait pas. Le silence régnait pendant toute l'heure du repas. C'est comme si elle allait tuer la première personne qui parle. Lorsque la cloche signifiant la fin du diner sonna, Jean-Jacques trébucha sur une roche et tomba sur Paul Robert, tout en l'embrassant sans le vouloir, en plus que sa main se retrouva dans le même endroit que les parties intimes de l'autre garçon. Paul Robert reçut un coup sur la tête, avant de perdre connaissance.

Quelques minutes plus tard, Paul Robert se réveilla dans la pièce de l'infirmière, surnommée Myu, dont le nom complet était Mireille-Yvette Ulris. Il était au pied d'un lit, à côté de Jean-Jacques. En un instant, tout ce qui s'était passé sur le toit revena dans sa tête. Sur le coup il rougissait. Puis d'un geste rapide, il se leva et s'enfuit, car il était gravement gêné. Il accrocha l'épaule de Martine en courant, ce qui la fit se retourner, puis trébucher sur l'infirmière, qui lui vola son premier baiser, tout en y touchant sa poitrine. Jean-Jacques passa devant cet acte, et s'exclama:


-Voilà, on est quittes, maintenant.

Il repartit, comme si rien ne se serait passé. Paul Robert, qui était au loin, compris enfin qu'il avait eu un coup de foudre sur Jean-Jacques. Il continua à courir, alors qu'il ignorait la raison. Il était juste trop gêné pour être à côté de la personne qu'il aime.

Le lendemain, rien ne se passa entre les deux garçons, même pas une seule interaction. C'était la même chose le reste de la semaine.

Une fois la fin de semaine passée, lors de la pause du diner, Jean-Jacques invita Paul Robert dans un coin de l'école pour parler. Il refusa, et sans regarder devant lui, il heurta Martine et tomba dessus. Sa tête tomba au niveau du ventre de la jeune amatrice de poireau. Quelques secondes après le choc, elle cria:


-Dégage de sur moi, sale pervers!

Elle se releva rapidement, et partit courir au loin. Tout le monde aux alentours parlait de la relation de Paul et Jean-Jacques, car il y avait une rumeur où ils se sont embrassés. Tout d'un coup, il s'évanouit. Ça faisait plusieurs jours qu'il ne se nourrissait pas correctement, car il ne pensait qu'à la personne qu'il aime.

Il se réveilla lorsque ses lèvres touchèrent celles de Jean-Jacques. Il semblerait que c'est lui qui l'a transporté jusqu'à l'infirmerie. Le roux lui expliqua comment il est tombé amoureux de lui, avant de l'embrasser une troisième fois, mais beaucoup plus tendrement. Paul se laissa faire, il était submergé par ses sentiments. Juste après, la douce voix de Jean s'éleva:

-Maintenant, nous sommes un couple, non?

Paul lui donna sa réponse en l'embrassant une fois de plus.

Le lendemain, lors de la première pause, Jacques prit la main de son amoureux et l'embrassa de plein fouet, rendant tout le monde dans les alentours perplexes. Ensuite, Paul murmura une phrase dans les oreilles de son copain.

-Jean-Jacques, je t'aime.

~ FIN ~

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[spoiler=Texte sans nom que je vais sûrement jamais finir, introduction][size=9]Écrite le dimanche 31 Mars 2012[/size]

"-Vite ! Toi seul possèdes le pouvoir de déjouer ses plans ! Déchire ta robe et fait ton attaque spécial!  Tu possèdes peu de temps... Tout repose sur toi... Courage..."

Ces parole-là résonna dans son esprit.
Puis, un léger bruit se fit entendre depuis l'étage inférieur.


"-Grand frère... Tu prends trop de place... Tasse-toi..."

Raymond se leva du sol, pour ensuite remarquer la présence de sa petite soeur âgée de douze ans, Georgette. Alors que Raymond était très peu vêtu, Georgette l'était encore moins. Son petit corps fébrile était recouvert d'une simple couverture presque transparente, avec absolument rien en dessous. Alors que Raymond observait lentement son corps, elle commença à se réveiller.

"-Grand frère... Bon matin..."

Elle leva lentement la tête, puis regarda dans les yeux de son frère, tout en ignorant le mouvement tombant de la couverture. Ses cheveux roux plutôt courts étaient tous mêlés, avec ses yeux marron montrant quelques petits signes de fatigue. Elle passa de longues secondes à contempler la chambre de son frère, pour ensuite remarquer qu'elle était complètement nue. En un instant, ses bras prirent une position adéquate pour cacher ses parties intimes, avant de se dire qu'il n'y avait que son frère dans la pièce... Pour ensuite les déplacer et laisser certains endroits de son corps sans protection. Elle leva tranquillement sa voix.

"-Désolé Raymond. Je me suis encore déshabillée pendant mon sommeil... En plus, je t'ai poussé en dehors de ton lit... Désolé."

Les joues de Georgette étaient toutes rouges, de honte et d'embarras. Il faut dire, à chaque fois qu'elle passa la nuit avec son frère, elle finit par se réveiller nue le lendemain matin.Ses yeux étaient fixés vers le bas lorsqu'elle parlait. Quelques secondes plus tard, elle leva les yeux, pour ensuite contempler les vêtements de son frère: un simple sous-vêtement rayé vert et blanc, plutôt moulant.Alors qu'elle essayait d'y adresser la parole, ses yeux étaient totalement fixés sur le "paquet" de son frère, c'était tout bonnement impossible de regarder autre part  pour elle.Raymond commença à tousser lorsqu'il remarqua la direction des yeux de sa soeur.

"-Pardon ! J'étais trop occupée à regarder tes poils noirs qui dé... Je veux dire, j'étais trop occupée à regarder tes beaux cheveux bruns."


Juste après avoir dit ça, elle fit un petit bruit plutôt mignon, sonnant comme un "teehee".

"-Sinon, Georgette, pourquoi es-tu encore dans mon lit ? Je sais bien que tu as de la difficulté à dormir quand les parents ne sont pas là, mais ça va bientôt faire plus d'un mois qu'ils sont morts... Tu ne comptes pas passer toutes les nuits ici, j'espère ?"

À la suite de ces paroles, leurs regards se remplissent tranquillement de tristesse, et mirent une pincée de mélancolie dans l'air. Leurs regards restèrent figés pendant plus d'une minute, avant que Raymond brise le silence.

"-Désolé de te l'avoir rappelé... Sinon, tu veux quoi pour déjeuner ? Je m'habille tout de suite et je vais le préparer."

Georgette répondit assez rapidement à la question, avant de jeter un regard sur l'heure, pour voir le temps qu'il reste avant que l'école commence.

Une dizaine de minutes plus tard, le déjeuner était prêt. Georgette et Raymond se placèrent sur la table, et le silence régna pendant de longues secondes, avant que Raymond s'adresse à Georgette.

"-Ce soir, pour fêter l'arrivée de la fin de semaine, je vais inviter la personne que j'aime... Ça ne te dérange pas, j'espère ?"

Le visage de Georgette s'assombrit plutôt rapidement. Ne savant pas trop comment se rattraper, Raymon ajouta:

"-Si tu insistes, on va peut-être pouvoir passer la nuit ensemble, les trois... "

Avant même que Raymond ait eu le temps de finir sa phrase, le visage de sa petite soeur s'illumina de mille feux, ce qui permetta facilement à Raymond de deviner sa réponse.

"-J'espère que cette fois, mon pervers de grand frère ne va pas me déshabiller pendant mon sommeil !"

En un instant, elle prit sa dernière tranche de pain, qu'elle tint par la bouche, et parti courir vers la sortie de la maison, avec son sac et ses souliers chaussés, pour sortir en hurlant dans la maison:

"-Bonne journée, Raymond !"

Raymond s'empressa de crier une phrase, avant qu'elle sorte.

"-Toi aussi ! Bonne journée, Georgette ! "

Raymond était maintenant seul, chez lui, car ses cours ne commençaient qu'une heure plus tard que ceux de sa soeur. Il prit donc son temps pour réfléchir à son rêve plutôt étrange en se douchant, avec une petite partie de ses pensées occupée par la personne qu'il aime plus que tout.[/spoiler]
[spoiler=Texte sans nom que je vais sûrement jamais finir, partie 1][size=15]Texte sans nom que je vais sûrement jamais finir [/size]

[size=9]Écrite le 16 mai 2012[/size]

Alors que Raymond était enfin arrivé à son premier cours de la journée, il accrocha le sein de sa voisine de case en prenant ses objets. Raymond rougissa, et s'excusa plutôt rapidement:


- Désolé... Je n'ai pas fait exprès !

Robertine rougissa, et lui dit que ce n'est rien pour elle.

-Ne t'en fais, c'est pas la première fois, je suis plutôt bien habitué...

Elle feinta un petit sourire, pour cacher son immense joie omniprésente. Car après tout, Robertine est bien l'amie d'enfance de Raymond. Elle accota sa main sur l'épaule de son ami, alors que tout le monde présent sur la scène recula de plusieurs mètres. Une grosse giffle se fit recevoir sur le visage maintenant déformé de Raymond. Une voix se fit entendre de l'autre bout du corridor:

- Depuis quand Robertine est aussi violente !? Je croyais que c'était une fille douce, moi...

Avant même que l'inconnu pu terminer sa phrase, tout le monde se sauva en courant, ayant peur de recevoir un casier dans la tronche, comme qu'elle savait si bien le faire. Le casier, celui de Raymond traversa le corridor pour ainsi se loger dans la tête de l'inconnu, et permettre aux différentes âmes sensibles d'avoir un traumatisme, alors que le sang giclait de partout.

-Oh non, c'est déjà le troisième élève mort depuis le début de la journée... Au moins, toi, Raymond, tu es résistant comparée à... Raymond ?

La carcasse de Raymond traina sur le sol, comme à l'habitude. Sâchant qu'elle allait avoir des heures de prison pour ses différents crimes dans les prochaines heures, elle profita pour emporter son ami d'enfance à l'infirmerie.

* * *

Quelques minutes, une heure tout au plus, Raymond était maintenant prêt pour se rendre dans son cours. Alors qu'il pénétrait un des longs corridor faisant la réputation de son école, il pouvait remarquer les différentes tâches rouges un peu partout sur les murs, surement causé par Robertine et ses manies plutôt violentes. Il y avait même des marques de haches, d'épées et de flèches logés dans les murs. Le simple fait que Robertine était encore autorisée à rester dans l'école malgré ses manies violentes restaient le plus grand mystère de l'école, juste plus haut classé que le mystère de l'existence du fantôme de l'école, Yuuko. Une fois qu'il arriva dans la classe,tout le monde était là. Il était soulagé, il ne voulait pas qu'un de ses amis meurent une autre fois par les mains de Robertine, comme pour Guy, qui s'est fait assasiné en plein milieu de son cours car il parlait trop, d'après l'avis de la serial-killer de la classe.


- Oh, Raymond! Ça va mieux qu'à matin ? Il semblerait que tu as reçu un coup qui t'a fait perdre conscience. Tu sais c'est qui qui t'as fait ça ?

Ça y, ce dit Raymond. Robertine était revenu dans son état normal, du moins, son état se rapprochant le plus du terme normal; celui de faire l'innocente. Car après tout, ça avait déjà bien marché avec la police les premières fois, d'après ce qu'il avait pu comprendre lors de ses différentes arrestations.

Au moment où il s'assoya sur sa chaise de tous les jours, Gustave saura de son siège pour mordre l'oreille de Raymond. Toutes les jeunes filles de l'école rougissaient, elles semblaient trouver cet action plutôt érotique, surtout que la plus grande population de la classe était de simples amateurs de romance entres garçons.


- Nya ! Si tu savais comment tu m'avais manqué aujourd'hui !

Sur le coup, Gustave lui donna un long baiser langoureux, alors que les longs cheveux blanc faisant la fierté de Gustave permit aux différentes personnes de la classe de ne pas voir tous les détails de ce simple baiser, entre amoureux de même sexe.

Robertine, juste à côté de Raymond, lança son bureau dans la fenêtre pour y permettre de s'échapper de l'école et détruire la ville dans sa petite rage passagère. La prof s'était évanouie devant l'événement, elle avait enfin un cours tranquille sans la possibilité que Robertine se fâche sur elle.

- Ça y est, Raymond et Gustave. Vous avez encore lancé une bombe atomique sur la ville, pour la troisième fois... Et ce, juste cette semaine. Je me demande toujours comment la population fait pour ne pas avoir déjà été réduite en néant...

Toute la classe éclata de rire... Avant même de remarquer que la voix avait que trop raison.

- Dit, Raymond, maintenant que la prof est inconsciente, on se pousse du cours ? À près tout, le cours fini dans 5 minutes. On a juste à aller rapidement à linfirmerie, tu ne semble pas aller complètement bien...


Il fit un rapide clin d'oeil à Raymond que tout le monde pût voir. Toute le monde dans la classe pensa à la même chose: "Ils font le faire." Un signe de jalousie s'afficha sur le visage du prof, ce qui lui donna assez de force pour se relever et gueuler sur les deux élèves, comme qu'elle a toujours su le faire:

- C'est ça, vous êtes encore jeune, et vous pensez qu'à faire ça !? Si c'est comme ça, vous aurez une retenue chaque jour d'école, et vous allez finalement comprendre ce qu'est d'être encore vierge à quatre vingt ans !

Gustave lança un petit rire, et répliqua une phrase capable de faire fondre le cœur de toutes les jeunes filles:

- Oh, mais si vous saviez, on ne vous a jamais interdit de nous regarder !

Un sourire fondeur se plaça sur son visage, alors que la vieille prof retourna dans son comma profond. Gustave poussa Raymond vers la porte en lui touchant les fesses pour qu'il se dépêche.

* * *

Couché sur le lit, Raymond était dans un état passif, alors que Gustave détacha lentement les boutons de la chemise de son amoureux pendant un autre long baiser. Rendu à enlever sa ceinture, le couple arrêta, se sentant pas qu'un peu regardé par une personne derrière les petits rideaux vraiment minces. La voix de Raymond s'éleva pendant un instant:


- Bernadette ! Arrête de nous regarder !

Gustave regarda le petit visage qui passait au travers du tissu.

- Je ne voulais pas vous déranger, je voulais seulement savoir comment vous faites des bébés, c'est tout !

Elle ouvrit les rideaux et regarda le tout avec ses gros jaunes globuleux. Ses cheveux roses placées en Mohawk. Le visage de Gustave prit une drôle d'expression, avant d'utiliser sa voix une fois de plus:

- La fille considéré comme étant la plus féminine de l'école, avec cette coupe-là !?

- Même la personne qui a créé l'uniforme scolaire à le droit de changer...


Elle déplaça les rideaux pour montrer sa splendide robe blanche digne d'un des mariages les plus beaux du monde. Elle se mît à rigoler de manière plutôt silencieuse en prenant bien soin de mettre sa main devant sa bouche juste avant.

- En fait, si vous l'ignorez, aujourd'hui c'est le jour de la photo pour le conseil étudiant. Et justement, j'avais besoin de l'avis du couple gay le plus populaire de l'école.

Bernadette fit un rapide 360 sur elle même pour montrer toute sa robe, avec un air joyeux, capable de voler le cœur de tout homme sur terre. La voix de l'amoureux de Raymond s'éleva rapidement.

- Merde, aujourd'hui c'est la photo !? Désolé Raymond, on va pouvoir continuer ce soir ? Je te le promet !

Gustave se dépêcha, lança son sourire bien habituel, alors que sa chemise était proche d'être détachée au grand complet. Car après tout, Gustave était une des personnes les plus influentes de l'école, aux côtés de Bernadette. Alors que Raymond essaya d'enfiler ses vêtements, la vieille prof de la classe arriva pour chercher le chercher, après avoir séché un total de 5 minutes de cours.

- Raymond Savard ! Tu va être puni pour avoir raté les 5 dernières minutes du cours avec Gustave !

Son visage changea rapidement d'expression, mécontente de l'absence de Gustave ou peut-être même de la scène de sexe qu'elle espérait tant voir. Elle se pencha alors sur le lit où Raymond était plutôt bien couché, dans une position intéressante, voir même provocatrice. Lucette, la prof abaissa son habit de soeur catholique pour ainsi créer un décolleté pouvant être sexy, si seulement elle était plus jeune.

- Ce soir, après l'école, tu va avoir des leçons supplémentaires, sur comment faire des enfants ! Il va même y avoir une partie du cour sur la pratique, si tu es sage !

Elle tira sa langue devant Raymond, avant d'essayer de courir dans le corridor, tout en évitant une crise cardiaque pour son cœur maintenant très faible. Raymond poussa un long soupir avant de se rhabiller comme avant son arrivé dans l'infirmerie.

Alors qu'il sortir de la pièce, un petit garçon avec plein de documents trébucha sur Raymond. Il se jeta sur le sol pour ramasser le tout, Raymond se pencha pour l'aider tout en s'excusant. Le petit garçon se présenta comme étant nommé Bertrand, avant de diriger ses yeux vers Raymond et de partir en courant juste après avoir vu une certaine partie de son assaillant. Bertrand était maintenant loin à la vue de Raymond avant même de comprendre qu'il avait oublier de s'occuper de sa fermeture éclair, toujours ouverte après les actions de Gustave. Avec un air de gêne, il la ferma délicatement en évitant de fermer sur une partie sensible de son corps, pour ensuite se diriger vers son casier pour prendre ses trucs, pour ensuite aller manger sur le toit.

* * *

Lorsqu'il ouvrit la classe, la pièce était rempli de sang partout, sur les murs, le plafond et le sol. Le tout était principalement concentré près d'un truc noir, avec un blanc taché de sang. Avant de tomber de tomber sur le sol et perdre conscience, il remarqua la présence d'une personne qu'il connaissait plutôt bien, avec son sourire habituel, avec un tout nouvel air sadique...
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[spoiler=La véritable histoire de Peach (NE PAS PRENDRE AU SÉRIEUX)][size=9]Écrite le jeudi 27 octobre 2011[/size]
PS: Ne prenez pas ça au sérieux, c'était une connerie avant que mon personnage se fasse accepter sur un forum rp)

Peach ne connait pas grands choses sur son passé, ce qui explique un peu pourquoi elle n'en parle pas vraiment. La chose la plus lointaine qu'elle se rappelle, c'est qu'elle a perdu ses parents et sa mémoire à l'âge de 5 ans, où il y a eu un accident de champimobile. Il y a eu un champignon qui traversait la route, et le conducteur devant la voiture royale l'a absorbé, et écrasé la voiture des parents de Peach. Ses parents sont mort sur le coup, mais Peach à survécu, ainsi que sa soeur. Car oui, Peach possède une soeur, elle ne l'a apprit il y a quelques mois, avant d'annoncer son voyage dans le monde extérieur. Pour continuer sur son passé, Peach a perdu la mémoire, et ses retrouvé dans un hôpital, pendant plus d'une semaine. Elle a dû tout ré-apprendre, grâce à ses nouveaux parents, qui sont en fait ses cousins, mais elle ne l'a apprit il y a quelques mois, aussi. Sa nouvelle famille a essayé de se faire passer pour ses parents, pendant une bonne partie de son enfance. Elle n'as jamais eu d'école, avec d'autre personnes, elle n'avait que des tuteurs qui venait dans le château pour l'aider à apprendre diverses choses. Elle a toujours voulu sortir et aller à l'école avec les autres, se faire des amis, mais ses substituts de parents ne voulaient pas, pour pas qu'un accident comme celui passé se reproduise. Elle savait que ses "parents" semblaient bizarre, mais elle ne l'a jamais cherché, jusqu'à ses 15 ans, où elle obtient la clé passe-partout de son château. Elle pouvait donc visiter chaque pièce du château royal, sauf une, qui était toujours fermée, avec une clé indépendante, que celle du reste du château. Pour garder le mystère de son passé, je vais donc passer à la rencontre de Peach et Mario. Ce n'était qu'à les 13 ans, de Peach qu'il y eu une fuite dans la tuyauterie du château. Les maîtres du château n'ont pas eu le choix que de faire appel à un plombier qualifié, qui n'est autre que Mario. Leur rencontre ont été assez rapide, mais c'était le coup de foudre. Ils sont tombés amoureux du premier coup. Après quelques jours, Mario commença à passer plus souvent au château, et dire bonjour à la princesse. Bowser en était jaloux, lorsqu'il avait vu leur liens, et décida d'un coup, sans même penser, de kidnapper la princesse. Une fois le kidnapping réussi,  Peach remercia Bowser, c'était la première fois qu'elle sortait du château, depuis ses 5 ans. Elle avait toujours voulu sortir, mais ses parents l'interdisait, en disant que c'était dangereux. Sur le coup, Peach offrit son corps à Bowser, seulement une nuit. Peach était plutôt  triste de le faire avec quelqu'un qu'elle n'aimait pas pour la première fois, mais elle se força de sourire, encore et encore. Le lendemain, Mario retrouva le repère de Bowser, et sauva Peach.  Elle en était contente, elle profita pour dire qu'elle aimait Mario, et l'embrassa sur son nez. Pendant ce temps, Bowser pensait que Peach l'aimait, et que c'était Mario qui était dans le chemin de leur amour. Depuis ce temps, Mario et Peach se trouvaient assez proches l'un de l'autre, alors que les parents de la princesse refusaient d'accepter leur amour.


Pour retourner a propos du mystère du château, elle a prit conscience de ce qu'il se trouvait dans la pièce bannie du château. Il s'y trouvait les objets de ses anciens parents, ainsi qu'un album photo regroupant ses photos de elle, à 5 ans. Elle avait le sourire radieux, à coté d'une jeune fille brune qui lui semblait assez proche, dont elle avait oubliée l'existence. D'ailleurs, sur les photos de elle et ses parents, ses parents étaient totalement différent, du visage jusqu'à la forme physique. Elle savait que quelque chose clochait, dans sa famille, mais elle n'osait pas en parler à ses "parents". Elle s'y décida vers ses 17 ans, quelques mois avant sa fête. Depuis ce temps, elle avait des rêves fréquents, avec cette jeune fille mystérieuse dans l'album photo. Elle se rappela seulement de la dernière chose qu'elle lui avait dit:


"-On sera ensemble pour toujours, non ?"


Tout ça fini par la troubler, elle était à la recherche d'information. Elle apprit donc que ce n'était pas ses vrais parents, que la jeune fille de l'album se trouve à être sa soeur jumelle, et qu'elle s'est fait prendre par un marchand d'esclave, lors de l'accident, quand elle était inconsciente dans la champimobile. Tout ça l'avait choquée, elle avait coupée tous ses liens avec Mario pendant se temps. Elle était prise dans une dépression. Ce n'est qu'à 18 ans, une fois qu'elle a repris ses liens avec Mario, qu'elle décida de voyager dans le monde, à la recherche de sa soeur perdue. Ses cousins voulaient la retenir, mais ils ne pouvaient pas, elle était rendue majeure. Elle prit ses trucs, et fit un adieu à ses parents avant de se rendre chez Mario, pour lui dire, et à Luigi aussi:


"-Je m'en vais en voyage seule, vous allez me manquer. Je vais définitivement revenir, et avec ma soeur !"[/spoiler]
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[spoiler=Texte loufoque écrit lors d'un cours vraiment ennuyant, avec aucun but particulier. Ne posez pas de questions, s'il vous plait.][size=9]Écrite le mercredi 7 septembre 2011[/size]

Je perda, quand tout à coup un anorexique équipé d'une hache traversa la pièce de manière trisomique, tout en criant quelques mots accrocheur, qui pourrait bien être le slogan du tout nouveau produit que je travaillais en secret dans mon temps libre. Il criait:
"-VOUS PERDEZ AU JEU"

Je me retourna d'un coup sec pour le regarder. Son regard était fixé sur moi, comme s'il voulait me violer. Il m'arracha les vêtements, avant de les passer dans le robot culinaire se trouvant dans le coin. Il empoigna ma fourche et commença à manger son sunday qu'il avait caché dans ses boxers. Il mangeait tellement mal que plein de crème se trouvait maintenant sur mon visage.[/spoiler]
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[spoiler= Texte Pour le NaNoWriMo que j'ai carrément abandonné] )][size=9]Écrite le 1 Novembre 2013[/size]
Introduction
Lorsque le crépuscule s'éternisait, leurs mains se touchèrent, leurs regards se frôlèrent.

« Nous allons être ensemble pour toujours, n'est-ce pas, Hector? »

Il ne pouvait que lui lancer un sourire maladroit, voulant montrer son amour infini pour sa petite-amie, Britney.

« Je serais à tes côtés jusqu'à la mort, et même après.  Je t'aime, Britney. »

Britney était plutôt gênée face à une déclaration aussi audacieuse que ça. Elle le regarda dans les yeux, pour ensuite partager un long baiser pendant que le soleil était maintenant caché par les nombreux nuages dans le ciel.

« Il ne me reste plus beaucoup de temps à vivre, maintenant. Je n'ai jamais crû que quelqu'un tenait à moi autant que toi. Je te promet, après ma mort, mon esprit va être dans un nouveau corps. Ça sera à toi de me trouver, pour que nous puissions passer l'éternité ensemble, comme nous le voulons tant... Promet-moi qu'on va se retrouver, Hector. Promet le moi, s'il te plaît... »

Plus que Britney parlait, plus que sa voix semblait s'affaiblir, sa respiration devenait plus paisible, plus régulière.

« Britney; je te le promet. Il n'y a personne de plus important que toi, dans ce monde, pour moi. »

Britney se coucha sur les cuisses d'Hector, et ferma les yeux. Son cœur commença à battre plus lentement, ses poumons à prendre des pauses, tout en transformant sa voix comme objet du passée. Dans son dernier élan de force, elle inséra un sourire sur son visage, montrant toute sa joie et son absence de regret. C'était ses derniers instants.

Britney; jeune rousse de 17 ans, touchée d'une maladie rare depuis sa naissance, elle n'a jamais eu une longue espérance de vie. Hector, bien qu'un an plus vieux, connaissait Britney depuis sa naissance, ayant été son premier ami, son premier partenaire de casier, son premier ami de classe, ainsi que son premier amour.

Alors que ses yeux laissaient couler d'innombrables larmes sur le visage sans vie de Britney, avec sa voix frémissante, il laissa ses derniers mots pour elle; bien qu'elle était maintenant incapable de l'écouter :

« Britney... Tu étais... Non, tu es la personne la plus importante du monde, de mon monde. Je vais te chercher, te hanter partout dans le monde. Si seulement tu n'étais pas aussi souffrante, j'aurais été l'homme le plus heureux au monde. »

Il laissa sa marque, un baiser, sur sa joue, pour la dernière  fois.

Je... Je ne peux pas vivre sans ta présence, sinon ma vie ne fait aucun sens. Sans toi, je meurs. J'espère que ta vie était digne d'un roi... Sans toi, je pleures... Si seulement ce n'était pas ta dernière heure... »

Dans les moments à fortes émotions, Hector avait une légère dépendance à faire des rimes, des vers, des poèmes dans ses nombreuses phrases. C'était ses légères tendances poétiques, ayant longtemps pratiqués les poèmes à l'école et à la maison; afin de plaire à Britney. Ce n'était peut-être pas le meilleur poète, mais il était tout de même assez bon selon les standards de ses différents anciens professeurs.

Hector leva la tête de Britney doucement, pour l'enlacer une dernière fois, pour ensuite transporter son corps dans ses bras, à la façon d'un couple nouvellement marié, afin de l'apporter à l'hôpital, dans sa chambre.

Après s'être fait réprimandé pour avoir sorti Britney en dehors de l'hôpital sans autorisation, la famille de la décédé fût appelée. Bien que les infirmières fussent toutes fâchées de voir le corps de Britney sans vie, elles ne pouvaient pas être longtemps fâchées contre Hector,  à l'aide du visage reposé, semblant toujours garder une ambiance très heureuse, du corps de Britney. C'était tout à fait évident  qu'elle eut l'occasion de passer du temps de qualité juste avant de lâcher prise.

Chapitre 1
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(Il ne va jamais en avoir un, je crois bien hihihi)
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Texte Sans nom
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Divagations dans une forêt
Suite:
La troisième pierre
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CH: Cetais' Harem
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Meurtre chez les Latable
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Poésie
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[spoiler=Poème à la con][size=9]Écrite le ? Juin 2010[/size]

Depuis le jour que je t'ai vu, sous ce soleil argenté,
je n'ai cessé de te fixer.
Mon cœur s'est envolé,
telle une famille reconstitué.
Tu n'as aucune raison de m'en vouloir,
je n'habite plus à Loire.
J'ai toujours voulu t'embrasser,
Sans lancer le sort Brasier.
Mon coeur est tien,
car tu le tien.
J'aimerais te revoir,
pour que j'ai plus de pouvoir.
C'est la dernière fois,
car je mange du foie.
Tu vas bientôt mourir,
je ne vais pas rire,
mais j'aurais un sourire.
Tu va te souvenir,
De notre ancien plaisir.
Tu ne sera plus triste,
car je serait à tes cotés,
Tel un dé et ses 6 cotés.
Je t'aime.[/spoiler]
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[spoiler=Poème pour un amour impossible][size=9] Écrite le 30 Juin 2013[/size]

Cela fait près un mois que je t'ai rencontré,
Toi qui attendais paisiblement,
D'être pris, d'être possédé.
Toi, que je veux tant.

Je t'ai pris,
T'enlaçant tout contre moi,
Mais tu était hors de prix
Pour quelqu'un de simple comme moi.

Chaque semaine, tu détruis ma mime,
Chaque jour, je veux que tu sois pour,
Chaque heure, j'en pleure,
Chaque seconde, j'en reçois une onde.

Je ne pense qu'à toi,
À ton vaste contenu,
À ton emprise.

Je te donnerais ma future entreprise,
Mon corps nu,
Pour que tu sois mon roi

Je t'aime, je te veux, je te désire,
Sois mien, ô grand Animal Crossing New Leaf![/spoiler]
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Poisson d'avril ? :ninja:

Quant aux textes, je n'ai fait que les survoler, mais ce n'est vraiment pas mon genre. Et sans commentaire pour le dernier, dont le début commence avec une horrible faute d'accord (je perda) ; d'ailleurs, je me demande quel est son but. >.<

En tout cas, je dois dire que ton style d'écriture est... particulier. x)

01 Avril 2012 à 18:48 #2 Dernière édition: 01 Avril 2012 à 18:51 par Cetais
Désolé, je suis loin d'avoir pris le temps de corriger le dernier texte, je l'ai juste mis ici car c'est le premier Avril, jour de mon mariage, maintenant annulé :/

Oh, et j'aimerais bien avoir un avis à propos de mon texte le plus récent, celui qui n'a pas encore de titre

Citation de: Cetais le 01 Avril 2012 à 18:48
Oh, et j'aimerais bien avoir un avis à propos de mon texte le plus récent, celui qui n'a pas encore de titre

Personnellement, je trouve ça très étrange, mais bon peut-être que d'autres apprécieront. :D

J'ai (enfin) mis à jour le texte qui n'as pas de titre, ayant fini la partie 1 depuis... Euh... Le 16 mai, je crois. >__<

Je pense commencer bientôt la suite, pour tout le temps libre que je vais avoir les prochaines semaines (X_X)

Hihihi, j'ai rajouté un texte écrit le 1 novembre 2013, il y a 4 mois. C'était pour le National Novel Writing Month, mais je ne l'ai jamais fini.... Hihihi

J'ai aussi ajouté un lien vers mon nouveau texte, ne comportant juste la première partie, pesant près de 1 800 mots, écrite en 3 heures, hier soir car je ne voulais vraiment pas aller à l'école le lendemain. :ninja:
(Foutu Chef que j'ai juste les lundis et mardis!)
... Oh, par contre le lien n'est aucunement accessible pour l'instant, je vais peut-être le publier sur le forum d'ici quelques jours.