Pour un truc improvisé, chapeau je ne saurais faire mieux.
P.S. : Pour les crédits, je ne suis franchement pas étonné, alors que Couet me pardonne si mon estimmation pour la hauteur improbable des 1000 mètres de hauteur d'eau en plus se révèle fausse
Ton récit comporte de très bons éléments, cette histoire de submarine est tout simplement génial, quoique d'après les rapports scientifiques, il est impossible que les villes se retrouvent à 1 kilomètre de profondeur, mais ce n'est qu'un détail^^!
Tes homos cortex et autres, d'après leur localisation, on devrait penser qu'ils sont surtout des caricatures des Américains et des Africains actuels...
Mais bon, en quoi ça serait impossible ?
A moins que metal ganon n'ait pas inclu l'idée du bouclier qui protègerait les villes que je lui avais suggéré
Donc, pas d'énervement, voilà ma théorie, peut-être est-elle vraie, peut-être est-elle fausse, peu importe, le récit de Metal Ganon est très inventif, donc il n'y a rien à blâmer^^!
metal ganon > Non tu ne me l'as pas expliqué Et puis ça ne résisterait pas à la pression > je croyais que c'était dans le futur. Dans l'état actuel de nos matériaux, certes, c'est impossible, mais qui vous dit que dans le futur ça ne sera pas possible ?
quoique d'après les rapports scientifiques, il est impossible que les villes se retrouvent à 1 kilomètre de profondeur,
Ben je vais t'expliquer alors, je trouve que le bouclier à la TWW que tu proposes pour la submarine a un côté rassurant, alors que d'être complètement entouré par de l'eau et des monstres a un côté un peu plus effrayant, tu ne crois pas?
Mais pourquoi tout le monde parle d'énervement J'ai mis des smileys qui sourient ou le suggèrent, pourquoi je serai énervée... ?
« N’allumez pas trop vos lampes ça pourrait exciter les monstres marins et les « rôdeurs » … »
Knile se tourne alors sur sa droite et aperçoit une armée de...
Quote from: metal ganon on 10 Juin 2007 à 19:17« N’allumez pas trop vos lampes ça pourrait exciter les monstres marins et les « rôdeurs » … »Exciter les rôdeurs?Ça sonne bizarre à mon oreille...!
Quant à l'histoire en elle-même, même si elle se laisse lire, je ne la trouve pas particulièrement accrocheuse ou originale.
Quote from: KuroHunter on 11 Juin 2007 à 12:35Quote from: metal ganon on 10 Juin 2007 à 19:17« N’allumez pas trop vos lampes ça pourrait exciter les monstres marins et les « rôdeurs » … »Exciter les rôdeurs?Ça sonne bizarre à mon oreille...!D'accord, mais t'aurais dit quoi?
Voilà, les vacances viennent ce commencer les portes du collège ce ferme…Les élèves ce dirent aux revoirs et partirent chacun de leurs cotés avant de partir en vacances…… Une heure après la fermeture, un jeune homme sorti le dernier du collège accompagné du directeur qui venais lui ouvrir la porte pour le laisser sortir, il eut une heure de colle, malgré les vacances, les professeurs ne rigole pas sur le règlement intérieure du collège… Le jeune homme avais dessiner un visage de manga sur les murs de la salle de science…Il ce retrouva à présent dans la rue, il était 18 heures, le soleil commençais à ce qui couché, éclairer par les réverbères il descendit la rue…Arriver devant l’arrêt de bus, il ce mis à lire les horaires des autocars…Assis sur le banc à regarder les flocons de neige tombé, il attendis patiemment l’arriver du bus, qui par malchance arriva avec vingt minutes de retard…Il entra dans le véhicule, regarda autour de lui : « peu de monde à cette heure ci « pensa-t-il en prenant place à l’arrière du bus… Trente minutes après le bus arriva à destination, notre ami descendit de l’automobile…La neige continuer à tombé, malgré l’épaisse couche blanchâtre il avança avec difficulté, il n’eut pas le temps de faire quelque pas qu’une voix l’appela…- Excuse-moi, s’écria la voix…Il ce retourna et pouvais voir une adolescente qui était à quelque mettre de lui…Elle semblait être de son age, de taille moyenne, elle courais en sa direction, une fois l’un en face de l’autre, elle repris son souffle et remis sa mèche en place…elle commença à parler assez rapidement qu’il eut du mal à la comprendre au début …
Ça fait un petit bout de temps que j'écris petit à petit un texte sur mon blog, je viens de le finir et histoire de faire un peu sa publicité (y'a du monde qui vient, mais pas grand monde qui donne ses impressions...), je vous poste ledit texte [spoiler]C’était la première fois que Lise se retrouvait seule dans cette maison.En y réfléchissant bien, à 20 ans, c’était la première fois que ses parents la laissaient seule.Elle s’était toujours dit qu’ils ne sortaient jamais par manque de temps, ou bien parce qu’ils la couvaient trop. Être fille unique vous rend indéniablement plus attachée à ses parents et vice versa. Et ce soir, elle était seule.Plusieurs fois, elle rêvait de pouvoir posséder la maison une heure ou deux, affirmer sa maturité, pouvoir s’en occuper mais curieusement, dès que ses parent eurent franchi la porte, elle se retrouva bête dans le couloir à ne pas savoir quoi faire.Et puis la fatigue la gagna peu à peu. Elle avait travaillé dur cette semaine, un peu de repos, de silence, lui serait profitable.Mais elle voulait profiter de ce moment de solitude.Tant pis, ses parent la laissaient enfin seule, elle espéra que cela se reproduirait plusieurs fois et se laissa gagner par le sommeil.Elle s’allongea dans le canapé du salon, alluma la télévision et regarda vaguement l’émission du soir, une sorte de Jerry Springer show.Il était question ce soir d’un transsexuel tombé amoureux de son ancien meilleur ami de lycée.Ses paupières devinrent lourdes au fur et à mesure que les esprit s’échauffaientdans l’émission. L’ami invité ayant mal pris la nouvelle, prenait peur de la tournure de la situation et insultait son ancien ami de raté, « mec paumé » et autres noms d’oiseaux.Lise entendit vaguement les premières insultes fuser, mais ne vit pas le magnifique crochet du transsexuel atterrir sur le menton de son ami.Elle sombra peu à peu dans son sommeil et rêva.Dans son rêve, elle était dans un pré, un immense pré vert et parsemé de petites fleurs blanches et jaunes, le tout donnant au loin un aspect cotonneux.Une légère brise soufflait dans sa robe d’été, le fin tissu bleu dont elle était faite complétait merveilleusement ce tapis floral.Un peu plus loin se dressait un arbre majestueux. Un chêne, probablement centenaire, étalant son imposant gabarit.Un petit coin d’ombre.Il faisait chaud malgré la brise qui soufflait. Le chêne faisait un abri parfait pour sommeiller et profiter de ce havre de paix.Lise s’allongea dessous. Il lui sembla que le chêne allongea ses branches vers elle, afin de mieux la protéger de l’éblouissement.Lise se sentait bien. Mais étrangement bien.Quelque chose dans ce paysage enchanteur la perturbait. Mais impossible de dire quoi.Elle parvint tout de même à fermer les yeux, non sans mal, tout en s’amusant de la situation :« Je dors dans un rêve »Elle eut un petit sourire qui se dessina probablement aussi sur le visage de la Lise allongée sur le canapé.Elle écoutait la brise à travers les branches du chêne. Le feuilles jouant avec le vent, s’entrechoquant et produisant de petits cliquetis.Le vent lui parlait, lui semblait-elle.Elle se concentra plus intensément sur le souffle du vent. Mais elle ne parvenait à distinguer aucun mot clairement.Un dernier effort de concentration et enfin, l’entendit.Il soufflait :« Crois-tu que l’Eden effacera tes peurs ? Fermer les yeux ne servira à rien »Lise sursauta et ouvrit les yeux. Elle passa en un instant de la fabuleuse prairie au salon de la maison.La télé diffusait toujours cette émission de télé ridicule. Manifestement, les invités avaient changé, car le présentateur opposait maintenant un homme et une femme :- Probablement encore une histoire d’adultère, soupira Lise.C’est alors qu’un craquement sonore retentit à l’étage.Lise sursauta.Était-ce un animal ? Le grenier faisait souvent office d’abris aux rongeurs, même les plus gros savaient se faufiler par n’importe quelle faille du toit aussi petite fut-elle.Ou bien était-ce un homme malintentionné qui aurait profité de son assoupissement pour pénétrer et voler des objets ?Bien que peu rassurée de se retrouver seule face à cette situation, Lise n’eut pas le choix et pris son courage à deux mains. Elle se dirigea vers un placard non loin de la porte d’entrée et se saisit de la raquette de tennis de son père. Un peu lourde, mais si elle atteint sa cible…Un deuxième craquement un peu plus fort que le premier lui donna l’élan du premier pas vers les escaliers montant à l’étage.Tout était éteint en haut. Elle n’y était pas retournée depuis le coucher du soleil. Elle s’avança vers l’interrupteur et alors qu’elle s’apprêtait à allumer le couloir, elle eut une hésitation.Était-ce vraiment judicieux d’allumer les lampes et signaler clairement qu’elle était là, au risque de se faire assaillir de front par l’éventuel intrus ?Ou bien était-ce plus prudent de laisser tout éteint, pour soit surprendre l’inconnu, soit repartir en douce prévenir la police après confirmation de l’effraction ?Lise n’était pas rassurée de devoir avancer dans le noir après ces bruits sinistres, craignant à chaque coin de porte de se retrouver nez à nez avec un malfaiteur, mais le noir lui faisait office de couverture.Finalement, elle se décida pour conserver l’obscurité.Sa curiosité pourtant l’emporta et elle ne put s’empêcher de jeter un œil dans les pièces de l’étage.Toutes les portes étaient fermées, comme c’en était l’habitude. Prudente, elle colla son oreille à chacune des portes mais n’entendit aucun bruit provenant des pièces.Excepté une… Entrouverte.Elle s’en approcha doucement et sentit un courant d’air froid diffuser à travers la fente de la porte.Froid ?L’hiver avait depuis longtemps cédé sa place à la tiédeur du printemps, l’été reprendrait bientôt le dessus, une température froide était donc plus qu’anormale.Lise ouvrit en grand la porte de la chambre. Cette chambre qui jamais n’avait été ouverte.« Un grenier rempli de vieilles poussières, lui avait dit son père, c’est dangereux dedans, c’est pourquoi nous la fermons »Et pourtant, cette pièce paraissait parfaitement aménagée. La seule fenêtre était ouverte, baignant la pièce de la lueur bleutée de la lune. Le vent semblait jouer avec de fins rideaux transparents, si légers qu’on en distinguait à peine les formes.Sur la gauche de la pièce, un lit de bébé était installé, les draps légèrement froissés.Juste à côté de la fenêtre de l’autre côté de la pièce, une femme, habillée de blanc et voilée, était assise sur un rocking-chair, tenant un bébé, enveloppé dans une petite couverture.La femme était tellement penchée sur le bébé qu’on ne voyait son visage, elle balançait la chaise d’avant en arrière comme pour bercer son bébé.Elle fredonnait doucement une chanson.Lise s'approcha doucement de cette femme, se demandant ce qu'elle faisait ici. Cette dernière se tut, leva doucement la tête vers Lise qui sentait un frisson glacial parcourir son échine.La femme était belle, elle paraissait jeune, si jeune. Son visage était lisse et parfait. Lise se demanda pourquoi elle frissonnait, et elle réalisa qu'elle n'avait pas d'yeux. Un trou noir remplaçait le globe de son oeil.Elle tenta de lui parler, malgré l'horreur qu'elle éprouvait :"Qui êtes-vous ? Que faites-vous chez moi ?"La femme ne répondit pas.Le silence qui s'installa n'était rompu que par le souffle du vent à travers la fenêtre.Lise avait peur mais n'osait bouger. Que se passait-il donc dans cette maison ?Et puis la femme parla, sa voix était rauque, un rictus déformait sa bouche :"Crois-tu que les ténèbres effaceront tes peurs ? Fermer les yeux ne servira à rien.Car je suis le mal absolu et rien, tu m'entends, rien ne pourra te sauver."Lise ouvrit les yeux, se réveilla en sursaut sur le canapé.La télévision retransmettait une ridicule émission de télé, un Talk-Show.Lise était désorientée, se demandant où était la part de réalité dans tout ce qu'elle venait de vivre.Terrorisée, elle ne bougea pas pendant quelques minutes.C'est alors qu'un craquement sonore rententit à l'étage...[/spoiler]J'en profite pour remercier Thyb, le seul fidèle qui vient poster des commentaires, ça fait toujours plaisir d'avoir une trace concrète autre que par les stats sur le monde qui vient.Je prévois de publier petit à petit un autre texte, qui a déjà été écrit, mais que je compte étoffer... Il sera d'un tout autre genre car issu d'un pseudo petit concours au sein de ma guilde dofusienne.
Elle avait travaillé dur cette semaine, un peu de repos, de silence, lui serait profitable.Mais elle voulait profitable de ce moment de solitude.
Lise s’allongea dessous. Il lui sembla que le chêne allongea ses branches vers elle
Le feuilles jouant avec le vent, s’entrechoquant et produisant de petits cliquetis.Le vent lui parlait, lui semblait-elle.Elle se concentra plus intensément sur le souffle du vent.
Bon, c'est loin d'être joyeux, hein !
Maxime > Honnêtement je trouve que c'est plat et qui plus est c'est bourré de fautes qui auraient pu être corrigées au correcteur ("déjeuné")
Y'a Firefox déjà....Pour la "platteur" comme tu dis, essaye de t'attarder un peu plus sur les détails, déjà.
C’est que, vous voyez, je retire un certain plaisir des éternuements. Je sais que c’est bizarre, mais ce geste en apparence absolument anodin est une des vraies jouissances de mon existence… Je sens le picotement lointain et profond qui monte… qui monte… qui monte… Je lève la tête lentement vers le ciel, je ferme tendrement les yeux, comme si je voulais me rapprocher ultimement de l’objet de ce picotement fatidique. Et puis, je grimace. Ce n’est pas très beau. Enfin, je n’ai jamais vu à quoi je pouvais bien ressembler quand j’effectue ce drôle de rictus, mais j’ai suffisamment vu de gens éternuer dans ma vie pour connaître avec une certaine précision les expressions loufoques que prennent les gens quand ils le font.C’est à ce moment ultime que le plaisir de l’éternuement est à son comble. Mais, avec le temps, avec la maturité du temps, surtout, j’associerais ce sentiment à l’Angoisse. Ah! Si vous saviez… c’est ce sentiment de chute libre qui vous enivre totalement. Je vous donne un exemple qui me vient rapidement à l’esprit. Vous vous levez la nuit et vous montez un escalier. Arrivé au palier supérieur, votre pied pense qu’il lui reste encore une marche à gravir. Le pied se perd dans le vide et s’ensuit ensuite un curieux sentiment de chute. C’est là, très exactement là, que se produisent l’Angoisse et la Nausée de nos éternuements… Et, par la suite, exactement comme si le temps ralentissait, la tête commence un subtil retour vers l’avant. Comme si elle sombrait, lentement, doucement, tendrement… vers l’inconnu. Et, brusquement, la réalité revient. On ouvre les yeux. On respire. Encore. La réalité.Vous savez.
Il entra dans une pièce silencieuse qui était une salle à manger éclairée par une lampe à suspension. Là aussi c’était fête, mais fête pour les petits enfants.Les uns, assis sur des poufs, feuilletaient des albums ouverts sur leurs genoux ; d’autres étaient accroupis par terre devant une chaise et, gravement, ils faisaient sur le siège un étalage d’images ; d’autres, auprès du feu, ne disaient rien, ne faisaient rien, mais ils écoutaient au loin, dans l’immense demeure, la rumeur de la fête.Une porte de cette salle à manger était grande ouverte. On entendait dans la pièce attenante jouer du piano. Meaulnes avança curieusement la tête. C’était une sorte de petit salon-parloir ; une femme ou une jeune fille, un grand manteau marron jeté sur ses épaules, tournait le dos, jouant très doucement des airs de rondes ou de chansonnettes. Sur le divan, tout à côté, six ou sept petits garçons et petites filles rangés comme sur une image, sages comme le sont les enfants lorsqu’il se fait tard, écoutaient. De temps en temps seulement, l’un d’eux, arc-bouté sur les poignets, se soulevait, glissait à terre et passait dans la salle à manger : un de ceux qui avaient fini de regarder les images venait prendre sa place.Après cette fête où tout était charmant, mais fiévreux et fou, où lui-même avait si follement poursuivi le grand pierrot, Meaulnes se trouvait là plongé dans le bonheur le plus calme du monde.Sans bruit, tandis que la jeune fille continuait à jouer, il retourna s’asseoir dans la salle à manger, et, ouvrant un des gros livres rouges épars sur la table, il commença distraitement à lire.Presque aussitôt un des petits qui étaient par terre s’approcha, se pendit à son bras et grimpa sur son genou pour regarder en même temps que lui ; un autre en fit autant de l’autre côté. Alors ce fut un rêve comme son rêve de jadis. Il put imaginer longuement qu’il était dans sa propre maison, marié, un beau soir, et que cet être charmant et inconnu qui jouait du piano, près de lui, c’était sa femme...